Auteur/autrice : Calou

Qu’est-ce que la théorie de l’attachement chez l’enfant ?

La théorie de l’attachement, développée par le psychanalyste britannique John Bowlby dans les années 1960, propose une explication du développement affectif et social de l’enfant. Elle met en lumière l’importance cruciale d’une relation stable et sécurisante avec une figure d’attachement principale, généralement la mère, pour le développement harmonieux de l’enfant.

Le besoin fondamental d’attachement

Selon Bowlby, les enfants naissent avec un besoin inné de s’attacher à une figure d’attachement. Ce besoin est tout aussi vital que les besoins physiologiques tels que la faim ou le sommeil. L’attachement procure à l’enfant un sentiment de sécurité et de protection, lui permettant d’explorer son environnement avec confiance et de développer ses capacités émotionnelles et sociales.

Les différentes phases de l’attachement

Le développement de l’attachement se déroule en plusieurs phases :

  • Phase de pré-attachement (0-2 mois): Le nourrisson émet des signaux innés (pleurs, sourires) pour attirer l’attention de son entourage.
  • Phase d’attachement indifférencié (2-7 mois): L’enfant commence à discriminer les figures familières des autres.
  • Phase d’attachement spécifique (7-12 mois): L’enfant développe une relation privilégiée avec une figure d’attachement principale, généralement la mère.
  • Phase de partenariat réciproque (12 mois et plus): L’enfant comprend que la figure d’attachement a aussi ses propres besoins et désirs. Il développe une relation plus mature et interactive avec elle.

Les types d’attachement

La qualité des interactions entre l’enfant et sa figure d’attachement influence le type d’attachement qui se développe. On distingue quatre types d’attachement :

  • Attachement sécure: L’enfant se sent en sécurité et confiant avec sa figure d’attachement. Il sait qu’elle est disponible et fiable pour répondre à ses besoins.
  • Attachement insécurisant-évitant: L’enfant a tendance à rejeter la figure d’attachement. Il peut se montrer indifférent ou distant, car il a appris qu’il ne peut pas compter sur elle.
  • Attachement insécurisant-ambivalent: L’enfant est très dépendant de la figure d’attachement et a du mal à la laisser partir. Il peut être très anxieux et craintif de la séparation.
  • Attachement désorganisé: L’enfant présente des comportements contradictoires et désorganisés envers la figure d’attachement. Il peut être à la fois attiré et effrayé par elle.

L’impact de l’attachement sur le développement de l’enfant

Le type d’attachement que l’enfant développe avec sa figure d’attachement a un impact majeur sur son développement affectif, social et cognitif. Un attachement sécure est associé à une meilleure estime de soi, à des relations plus saines et à une meilleure réussite scolaire et professionnelle. En revanche, les enfants qui ont un attachement insécurant sont plus susceptibles de développer des problèmes émotionnels et comportementaux.

L’importance de la théorie de l’attachement

La théorie de l’attachement a eu une influence considérable sur le domaine de la psychologie et de la petite enfance. Elle a permis de mieux comprendre l’importance des relations précoces pour le développement de l’enfant et a contribué à l’élaboration de programmes d’intervention pour les enfants qui ont des troubles de l’attachement.

Foin de Crau : pourquoi devriez-vous l’utiliser pour nourrir vos lapins et rongeurs ?

Malgré une constitution biologique semblable, les lapins d’élevage se démarquent de leurs cousins qui vivent en pleine nature. Ces derniers ont une alimentation plus variée, et qui dépend en grande partie des saisons. Elle est composée de divers végétaux, alors que le lapin domestique doit principalement se contenter de foin. Le foin de Crau est tout indiqué dans ce cas, afin que l’animal comble tous ses besoins nutritionnels. Quelles sont les particularités de cet aliment ?

À propos du foin de Crau


Concernant les aliments pour les lapins, le foin de Crau est assurément ce que vous trouverez de mieux sur le marché. Son processus de fabrication artisanale est soumis à un cahier de charges aux exigences élevées. La vente du foin de Crau AOC/AOP est directement faite par l’exploitation agricole responsable de sa production. Le produit en lui-même contient peu de poussières, ce qui en fait l’une des meilleures alternatives du marché.

Pour les personnes qui possèdent des lapins ou rongeurs particulièrement sensibles, ce foin est l’aliment à adopter. Il se caractérise par des brins d’herbe assez longs, dont la coloration varie selon plusieurs paramètres tels que :

  • La période de récolte :
  • La météo ;
  • Les régions du champ ;
  • Etc.

Ce foin est séché de façon naturelle dans les prairies. Ainsi, les lapins accèdent à une grande part de nutriments. Contrairement aux autres variétés, celle-ci n’est pas compressée pour être conditionnée. Les propriétaires d’animaux peuvent alors conserver de façon optimale le foin de Crau pour nourrir leurs lapins et autres rongeurs.

Comment nourrir un lapin avec le foin de Crau ?

En tant que propriétaire d’un lapin, vous savez certainement que cet animal ne doit pas être alimenté de façon inappropriée. Cet article indique d’ailleurs les gestes à éviter en la matière. Pour que votre lapin puisse se développer convenablement, il est recommandé que le foin constitue 70% des aliments qu’il consomme. Cela signifie que vous devez en mettre une importante quantité à sa disposition, ainsi que de l’eau.

Quotidiennement, le lapin devrait manger l’équivalent de son poids en foin. L’avantage de cet aliment sur la santé de l’animal est qu’il lui permet d’user convenablement ses dents. Le transit est également facilité, ce qui garantit une parfaite santé à votre lapin domestique. Quant au foin de Crau, il faut noter qu’il contient d’importants taux de calcium. Pour éviter les excès dans l’organisme de l’animal, vous pouvez :

  • Modifier chaque jour le type de foin qu’il consomme ;
  • Couper le foin de Crau avec d’autres variétés moins riches en calcium.

Les atouts nutritionnels de cet aliment


Parmi les aliments destinés aux animaux, le foin de Crau se démarque par ses labels AOC et AOP. Sur le plan nutritionnel, notez qu’il est riche en calories et facile à digérer par les lapins. Vos autres rongeurs domestiques pourront aussi en consommer sans aucun problème. Cet aliment contient un taux non négligeable de protéines. Cela est rendu possible par les différentes plantes utilisées pour sa formulation.

En ce qui concerne la teneur en minéraux, le foin de Crau n’a rien à envier aux autres aliments destinés aux lapins. Au contraire, il regorge des minéraux essentiels et oligoéléments indispensables pour leur bien-être.

Eaux pluviales : des solutions adaptées aux enjeux urbains

La gestion des eaux pluviales et le traitement des eaux usées sont des enjeux cruciaux pour préserver notre environnement et assurer un développement durable. Générale d’Assainissement, une entreprise experte dans ce domaine, propose des solutions innovantes et respectueuses de l’environnement pour relever ces défis.

Eaux pluviales : des solutions adaptées aux enjeux urbains

Dans les zones urbaines, la gestion des eaux pluviales est essentielle pour éviter les inondations et préserver les ressources en eau. Générale d’Assainissement propose une gamme complète de systèmes de récupération et d’infiltration des eaux de pluie, tels que des citernes enterrées, des bassins de rétention ou des tranchées drainantes. Ces solutions permettent de réguler les écoulements, de réduire les risques d’inondation et de favoriser la recharge des nappes phréatiques.

Traitement des eaux usées : des procédés respectueux de l’environnement

Le traitement des eaux usées est un enjeu majeur pour préserver la qualité des ressources en eau et protéger les écosystèmes. Générale d’Assainissement propose des installations d’assainissement non collectif de pointe, comme des microstations d’épuration et des filtres compacts. Ces procédés garantissent un traitement efficace des effluents domestiques et industriels, tout en minimisant leur impact sur l’environnement.

Une expertise reconnue et un engagement durable

Forte de plus de 50 ans d’expérience, Générale d’Assainissement s’appuie sur un savoir-faire reconnu et une équipe de professionnels qualifiés. L’entreprise s’engage également pour des pratiques durables, en utilisant des matériaux recyclables et en optimisant ses procédés de production pour réduire son empreinte écologique.

Que vous soyez un particulier, une collectivité ou une entreprise, Générale d’Assainissement vous accompagne dans la mise en place de solutions adaptées à vos besoins, en accord avec les réglementations en vigueur et dans le respect de l’environnement.

Un accompagnement sur-mesure pour chaque projet

Qu’il s’agisse d’un particulier en quête d’une solution d’assainissement individuelle ou d’une collectivité cherchant à mettre en place un système de gestion des eaux pluviales à grande échelle, Générale d’Assainissement propose un accompagnement personnalisé. Les experts de l’entreprise étudient les besoins spécifiques de chaque client pour concevoir la solution la mieux adaptée, tout en respectant les normes en vigueur.

L’innovation au cœur de la démarche

Générale d’Assainissement ne cesse d’innover pour proposer des solutions toujours plus performantes et respectueuses de l’environnement. L’entreprise investit dans la recherche et le développement de nouvelles technologies, comme l’intelligence artificielle pour optimiser la gestion des installations ou les procédés de valorisation des boues d’épuration. Une démarche qui lui permet de rester à la pointe de son domaine d’activité.

 

Gérer efficacement les eaux pluviales et usées avec Générale d’Assainissement

La gestion des eaux pluviales et le traitement des eaux usées sont des enjeux cruciaux pour préserver notre environnement et assurer un développement durable. Générale d’Assainissement, une entreprise experte dans ce domaine, propose des solutions innovantes et respectueuses de l’environnement pour relever ces défis.

Eaux pluviales : des solutions adaptées aux enjeux urbains

Dans les zones urbaines, la gestion des eaux pluviales est essentielle pour éviter les inondations et préserver les ressources en eau. Générale d’Assainissement propose une gamme complète de systèmes de récupération et d’infiltration des eaux de pluie, tels que des citernes enterrées, des bassins de rétention ou des tranchées drainantes. Ces solutions permettent de réguler les écoulements, de réduire les risques d’inondation et de favoriser la recharge des nappes phréatiques.

Traitement des eaux usées : des procédés respectueux de l’environnement

Le traitement des eaux usées est un enjeu majeur pour préserver la qualité des ressources en eau et protéger les écosystèmes. Générale d’Assainissement propose des installations d’assainissement non collectif de pointe, comme des microstations d’épuration et des filtres compacts. Ces procédés garantissent un traitement efficace des effluents domestiques et industriels, tout en minimisant leur impact sur l’environnement.

Une expertise reconnue et un engagement durable

Forte de plus de 50 ans d’expérience, Générale d’Assainissement s’appuie sur un savoir-faire reconnu et une équipe de professionnels qualifiés. L’entreprise s’engage également pour des pratiques durables, en utilisant des matériaux recyclables et en optimisant ses procédés de production pour réduire son empreinte écologique.

Que vous soyez un particulier, une collectivité ou une entreprise, Générale d’Assainissement vous accompagne dans la mise en place de solutions adaptées à vos besoins, en accord avec les réglementations en vigueur et dans le respect de l’environnement.

Un accompagnement sur-mesure pour chaque projet

Qu’il s’agisse d’un particulier en quête d’une solution d’assainissement individuelle ou d’une collectivité cherchant à mettre en place un système de gestion des eaux pluviales à grande échelle, Générale d’Assainissement propose un accompagnement personnalisé. Les experts de l’entreprise étudient les besoins spécifiques de chaque client pour concevoir la solution la mieux adaptée, tout en respectant les normes en vigueur.

L’innovation au cœur de la démarche

Générale d’Assainissement ne cesse d’innover pour proposer des solutions toujours plus performantes et respectueuses de l’environnement. L’entreprise investit dans la recherche et le développement de nouvelles technologies, comme l’intelligence artificielle pour optimiser la gestion des installations ou les procédés de valorisation des boues d’épuration. Une démarche qui lui permet de rester à la pointe de son domaine d’activité.

Comment choisir de bonnes croquettes pour son chat ?

Comment choisir de bonnes croquettes pour son chat ?

Il existe plusieurs marques de croquettes pour chats sur le marché. De tous les aliments, il est difficile de s’y retrouver et de savoir lequel est le meilleur pour votre animal de compagnie. Voici quelques conseils pour choisir les meilleures croquettes pour votre chat.

Identifiez les besoins nutritionnels de votre chat

Pour commencer, assurez-vous que la nourriture couvrira les besoins nutritionnels de votre chat. Pour cela, vous devez avoir quelques informations concernant votre animal : 

  • son âge,
  • son poids,
  • et son mode de vie.

Il vous faudra donc faire un premier tri en fonction du profil global de votre chat et éventuellement de sa race, surtout si cela le prédispose à certaines sensibilités ou maladies.

À ce stade, votre vétérinaire est votre interlocuteur privilégié. Il peut vous aider à vous orienter vers une marque précise. Pour un chat qui n’a pas de problème de santé particulier, tenez compte de son niveau d’activité physique et de sa situation.

Analysez soigneusement les premiers ingrédients des croquettes

Lisez attentivement l’emballage et faites une analyse approfondie des nutriments. Le premier ingrédient figurant sur l’emballage des croquettes est généralement le plus présent dans les aliments.

Évitez donc les aliments secs avec des céréales comme ingrédient principal. Un chat qui mange une telle nourriture régulièrement peut voir comment sa nature carnivore a été touchée. Au contraire, ils préfèrent les croquettes composées d’une grande proportion de viande ou de poisson.

Évitez également les aliments secs, qui donnent peu d’informations sur leur composition nutritionnelle.

Vérifiez le pourcentage de viande

Dans un paquet d’aliments secs, la viande doit être le premier ingrédient répertorié. En effet, cela signifie qu’il s’agit de l’aliment le plus courant. L’idéal est de dépasser 30 % de viande et pas plus de 12 % de minéraux. En fait, les chats sont purement carnivores et ont donc avant tout besoin de protéines dans leur alimentation.

Mais attention, la viande doit être remplacée en morceaux et non en sous-produits qui ne sont qu’impropres aux restes alimentaires.

Évitez les croquettes contenant trop d’amidon

Le chat étant un carnivore cru, il est important de lui fournir des croquettes assez peu féculentes. Mais l’amidon est un ingrédient essentiel des croquettes. Par conséquent, d’autres sources d’amidon sont utilisées pour préparer des croquettes à haute teneur en animaux.

Pour faire le bon choix dans ce cas, vérifiez les taux de protéines et de glucides de ces croquettes. Dans ce cas, les marques ayant des niveaux élevés de glucides doivent être évitées.

La nourriture de votre chat doit être principalement composée de protéines animales et avoir une teneur équilibrée en minéraux. Cependant, ils peuvent ne pas contenir de carraghénane, qui est un additif alimentaire.

De plus, évitez les croquettes qui ont une teneur en cendres supérieure à 10 %. C’est un signe que la qualité de la viande est mauvaise.

Évitez les croquettes premiers prix

Les granulés premier prix sont souvent constitués d’aliments de qualité douteuse. Même si les croquettes les plus chères ne sont pas forcément les meilleures, évitez de vous référer à ces marques bon marché.

De même, essayez d’interdire la présence d’additifs chimiques, de conservateurs et de colorants artificiels dans l’alimentation de votre chat, en vous adressant notamment aux marques bio.

Choisissez les croquettes pour chat Noviko ou les croquettes pour chat Sofivet

Si vous voulez être sûr de ne pas vous tromper dans le choix des croquettes pour votre chat, autant se tourner vers des valeurs sûres ! Si certains préfèreront tout de même se tourner vers des marques bien connues par le grand public, ce n’est malheureusement pas toujours le meilleur choix à faire… En effet, dans ce cas, il est préférable de se tourner vers des croquettes pour chat qui sont vraiment adaptées au besoin de chacun.

Par exemple, les croquettes pour chat Noviko peuvent être parfaites pour tous les chats qui ont du diabète, tandis que les d’autres plus connus sont plutôt destinés à un usage générique. C’est le cas pour la plupart des marques ou la gamme Sofivet qui est très appréciée par les vétérinaires. Avec des sacs de croquettes qui peuvent aller de 2 kg, et qui peuvent rapidement aller jusqu’à une dizaine de kilos, nul ne doute que les chats ne devrait que pouvoir apprécier de manger un bon repas ! Quoi qu’il en soit, que ce soit avec Noviko ou Sofivet, la marque de croquettes pour chat doit toujours être réalisée en fonction des besoins de l’animal…

Comment avoir des poussins ?

Comment avoir des poussins

Si vous voulez avoir des petits poussins dans votre jardin,  vous avez deux options : faire éclore les œufs fécondés par la poule ou utiliser un incubateur pour faire éclore les œufs fécondés. Retrouvez toutes les informations dont vous avez besoin pour avoir des poussins dans cet article.

L’importance d’un coq pour obtenir des poussins

Une poule a la possibilité de pondre des œufs même sans un coq. En revanche, il vous faut impérativement avoir un coq pour féconder les œufs et espérer des poussins.

Si vous ne voulez pas prendre de coq, vous pouvez également acheter des œufs déjà fécondés. En consultant les annonces ou l’éleveur, il est facile de trouver quelque œufs déjà fécondés à vendre pour commencer l’élevage.

Identifier une poule fécondée

Si vous n’avez pas pu observer l’accouplement et que vous avez un doute, surveillez vos poules.

Une poule fécondée change de comportement. Elle siffle et mord en s’approchant des œufs qu’elle éclot aussitôt lorsqu’ils sont tous pondus, c’est-à-dire après environ une semaine à 10 jours.

Elle arrache des plumes de son ventre pour les placer dans son nid afin de maintenir une température constante pour ses œufs, qu’elle fait tourner plusieurs fois par jour. Le temps d’incubation dure alors 21 jours. La poule ne se lève du nid que pour manger et boire rapidement.

Incubation naturelle avec la poule couveuse

Lorsqu’elles commencent la couvaison, respectez le calme et la tranquillité des poules. Ne les traitez pas trop souvent ou de préférence la nuit, afin de ne pas trop les déranger.

La couvaison d’une manière naturellement ne commence qu’une dizaine de jours et dure 21 jours. N’oubliez pas qu’une poule peut pondre jusqu’à 10 œufs ou 10 futurs poussins potentiels. Il est essentiel d’assurer le bien-être de l’animal pendant la couvaison, car cela maximise les chances de réussite.

Pour ce faire, aménagez-lui un nid confortable, de préférence dans un coin sombre, loin de ses compagnons afin de ne pas la déranger. Vous pouvez faire muer dessus pour l’isoler et éloigner sa future progéniture des prédateurs.

De plus, placez de l’eau et de la nourriture à proximité pour plus de confort. Ne vous inquiétez pas si elle arrache les plumes de son ventre pendant ce temps et transpire beaucoup.

Incubation artificielle : incubateur électrique

Si vous choisissez l’incubation artificielle, vous devez acheter une couveuse automatique.

Placez l’incubateur dans une pièce chaude et sans courants d’air. Allumez-le 24 heures avant de mettre les œufs pour vous assurer que tout fonctionne bien. Posez les œufs à plat après en avoir retiré la poussière et la saleté avec un chiffon.

Conservez-les à 16-18 °C jusqu’à incubation. Cela commence entre les jours 2 et 7 après le dépôt.

Pendant les 18 premiers jours d’incubation, les œufs doivent être retournés deux fois par jour pour empêcher l’embryon de coller à la coquille. Surveiller l’humidité dans l’incubateur pendant toute la période : 65 % d’humidité jusqu’au 19ᵉ jour.

Astuces pour bien suivre la couvaison des œufs

Le bon développement du poussin peut être vérifié à l’aide d’un appareil appelé mire-œuf. Il illumine l’intérieur de l’œuf pour observer ce qui s’y trouve. Cela permet de retirer l’œuf s’il ne se développe pas.

Avant de retirer le poussin, il faut le laisser sécher dans un incubateur pendant une journée sans le nourrir, car il doit vider le tube digestif. Lorsque cette période sera terminée, il pourra commencer sa vie sereinement.

La ruche Warré : La ruche parfaite pour l’apiculteur débutant

La ruche Warré

Pour partir à la découverte de la merveilleuse aventure qu’est l’élevage des abeilles, la ruche warre est parfaite pour tout apiculteur débutant. Elle ne nécessite pas beaucoup d’investissement, que ce soit en termes de temps ou de matériel. Elle représente également un habitat idéal pour les colonies, car sa conception respecte au mieux le cycle de vie naturel des abeilles. Découvrez vite ce qu’il faut savoir sur cette ruche pour les débutants.

La conception de la ruche Warré

La ruche Warré a été inventée par l’abbé Emile Warré au XXè siècle. Passionné dès son jeune âge à l’élevage des abeilles, il prit soin de tester plus de 350 ruches avant de proposer finalement une ruche verticale, séparable à section carrée. Ce religieux amoureux des abeilles ne poursuivait pas comme objectif, d’abondantes récoltes de miel. Il voulait favoriser au maximum le cycle de vie de l’abeille en élevage, en lui offrant un habitat qui se rapproche le plus possible de son environnement naturel. Contrairement à la populaire ruche Dadant, la ruche Warré ne présente pas de distinction entre le corps et la hausse.

Une ruche écologique pour le bien être des colonies

La conception ainsi que la taille des corps de cette ruche écologique ont été spécifiquement conçues pour privilégier le bon développement des colonies d’abeilles. Ses dimensions sont également déterminées selon le volume occupé naturellement par une grappe d’abeilles en période d’hivernage. La ruche Warré mesure alors 30 x 30 x 21 cm et n’est pas composée de cadres, mais d’éléments amovibles. Chacun de ces éléments est constitué uniquement de 8 rayons de cire. Les interventions de l’apiculteur sont aussi limitées au maximum afin de ne pas déranger les abeilles même en hiver.

La ruche Warré pour apiculteur débutant

Pour un apiculteur débutant, pour un amateur qui ne souhaite conduire qu’un petit nombre de ruches, la ruche Warré est idéale pour faire ses premiers pas dans l’univers fascinant de l’apiculture. En effet, cette ruche écologique n’exige pas de faire un investissement conséquent. L’abbé Warré l’a conçue dans un tel état d’esprit d’économies de moyens, qu’il est même possible de construire soi-même sa propre ruche Warré.

Outre son côté peu onéreux, la conduite de cette ruche ne nécessite l’utilisation, ni de cire gaufrée, ni d’extracteur, ni d’autres matériels d’apiculture sophistiqués. Les manipulations sont également moindres, puisque les abeilles construisent elles-mêmes leurs rayons selon leurs propres besoins. Un autre avantage considérable proposé par ce modèle de ruche est que l’apiculture peut profiter d’abeilles les moins agressives, puisqu’elles peuvent vivre tranquillement sans trop d’intervention de la part de l’homme.

Enfin, comme la Warré est idéale pour débuter dans l’apiculture, un des moyens pour se former à l’apiculture est de faire son apprentissage au sein d’un rucher école.

Faux miel ou miel naturel : comment faire la différence ?

Faux miel ou miel naturel

Pour bien profiter d’un miel de qualité, il est nécessaire de le consommer brut ou naturel. Il existe des méthodes pour distinguer le vrai du faux miel. L’article suivant expliquera les différents critères qui détermineront un miel authentique 100 % naturel.   

Qu’est-ce qu’un vrai miel et faux miel ?

Il faut savoir qu’un miel cru finit par cristalliser après plusieurs mois. Pour faire la différence, il faut savoir ce qui différencie le vrai miel du faux. Un vrai miel ne provient pas d’une usine, mais de la ruche d’abeilles. Le miel pur est fabriqué par des abeilles mellifères. Le miel biologique est fabriqué par les abeilles qui se nourrissent des fleurs. Et les fleurs sont cultivées dans son environnement naturel. Un faux miel est un miel ajouté avec du glucose, du dextrose, de la mélasse, ou encore du sirop du sucre. On y ajoute aussi du sucre inverti, de la farine, du sirop de, mais, de l’amidon et tout produit semblable. Le faux miel se nomme aussi miel impur, artificiel ou falsifié.

Les astuces pour reconnaitre le vrai du faux miel

Il existe différentes méthodes pour faire la distinction du vrai au faux miel.

·         La cristallisation du miel cristallisé et miel cru

La cristallisation prend plus ou moins de temps en fonction des fleurs d’origine du miel. Un miel cru finit toujours par cristalliser au bout de 6 mois à 1an. Le faux miel ne cristallise pas du tout par endroits.

·         La densité du miel

Un miel qui vient d’être récolté est très liquide. Puis il s’alourdit rapidement, il devient difficile à transvaser d’un pot à un autre. Le faux miel reste liquide au bout de plusieurs mois.

·         La dissolution dans l’eau

Pour vérifier l’authenticité d’un miel pur, il faut verser une cuillérée dans un verre d’eau. Une fois le miel est tombé dans le fond du verre. Il ne doit pas se mélanger qu’après avoir mélangé. Cette expérience prouve l’authenticité d’un miel naturel.

·         La réaction au chauffage

Si on chauffe un miel, le naturel caramélise rapidement. Le faux miel se transforme en mousse puis en caramel. Il est bien possible qu’il ne se change plus.

·         L’odeur et le gout

L’odeur d’un miel naturel se rapproche à celle de sa fleur de provenance. Son gout se sent au bout de quelques minutes en bouche. Le faux miel n’a pas d’odeur délicate. Son gout dure longtemps en bouche à cause des sucres et d’aromes ajoutés.

·         Le test du feu

Il faut enduire la tête d’une allumette de miel et allumer avec une autre. Si cette allumette prend le feu rapidement, ça prouve que c’est du miel authentique. Mais dans le cas contraire, c’est un faux miel.

·         L’adhésivité

Le vrai miel n’est pas collant si on frotte entre les doigts. Le faux est collant à cause du pourcentage élevé d’additifs ajoutés.

·         L’épaisseur

Un vrai miel est très épais et difficile à transvaser dans un contenant tandis que le faux est léger et se transvase rapidement.

·         Le test du jaune d’œuf

On verse le vrai miel dans un récipient avec le jaune d’œuf. Quand le mélange est accompli, le jaune d’œuf paraît cuit. Le faux n’affecte rien sur le jaune d’œuf.

·         Le test du pain

Un pain tartiné de vrai miel se fige en quelques minutes. Le faux miel mouille et hydrate en raison des additifs.

·         L’impureté

Le vrai miel contient d’impuretés les particules d’aspect sale. Il contient de pollen et corps d’abeilles. Le faux n’a aucune impureté totale.

 

L’abeille ouvrière : une travailleuse multifonction dans la ruche

L'abeille ouvrière

Le rucher est un véritable petit monde avec ses habitants et sa propre organisation. La colonie est dirigée par une reine qui assurera la survie de la ruche en pondant des œufs pour les futures abeilles.

Il y a plusieurs centaines de mâles dans la ruche, mais les principaux habitants sont des abeilles ouvrières. Ces abeilles femelles représentent 90 % de la colonie et sont actives tout au long de leur vie pour assurer le bon fonctionnement de la ruche.

La naissance des abeilles ouvrières

Contrairement à la reine, il faut 21 jours à une ouvrière pour quitter sa cellule. Comme la reine, l’œuf éclora en trois jours et l’abeille ouvrière idéale apparaîtra 21 jours après la ponte.

L’ouvrière a des glandes qui seront plus ou moins développées selon son âge et lui permettront d’effectuer des tâches spécifiques :

  • la glande du bas de la gorge, grâce à laquelle les ouvrières sécrètent une substance destinée à nourrir les larves,
  • les glandes labiales et mandibulaires qui permettent l’émission de phéromones d’alarme,
  • la glande de Nasanov, une tache distincte que l’on voit au bout d’une abeille pour indiquer aux autres abeilles de la colonie que c’est là que se trouve la reine.

Relations entre les abeilles ouvrières

Il n’y a qu’une seule mère dans la ruche, la reine des abeilles. Cet insecte est facile à reconnaître par sa plus grande taille.

Pendant le vol nuptial, elles s’accoupleront pour la première fois de leur vie. Environ 25 mâles seront fécondés par une reine. Une fois l’accouplement terminé et fécondé, la reine retourne dans sa ruche et n’en sortira plus.

Par conséquent, elle stocke leur sperme dans sa spermathèque. Tout au long de sa vie, elle pondra des œufs de différents mâles. Les ouvrières peuvent donc être sœurs ou demi-sœurs.

La vie des abeilles ouvrières

Tout comme les fourmis ou les termites, les abeilles sont connus pour être des travailleuse infatigables. La vie des ouvrières est une vie de dur labeur. Une jeune abeille effectue ses tâches dans la ruche. Elle ne sortira pas avant vingt jours. La tâche de la jeune abeille sera de nettoyer les alvéoles pour faire place à la deuxième génération, la reine ne pond que dans des alvéoles propres.

Vers l’âge de six jours, l’ouvrière deviendra nourrice. Elle sera chargé de nourrir les larves. Certains vont sceller, c’est-à-dire obstruer les cellules contenant des larves de neuf jours. Puis, entre le 5e et le 20e jour, l’abeille ouvrière commencera à construire les rayons et à les réparer.

A 15 jours en moyenne, l’abeille sera chargée : 

  • de récolter la manne apportée par les cueilleurs,
  • de stocker le nectar et de le transformer en miel,
  • et de stocker le pollen dans les alvéoles.

Puis lentement l’abeille sortira de la ruche. Environ 18 jours, elle sera chargé de réguler la température de la ruche en créant un courant d’air grâce aux battements rapides des ailes.

L’abeille ouvrière devient une abeille gardienne

Dans la période de 12 à 25 jours, l’ouvrière deviendra une gardienne. Placée devant la porte d’entrée, elle vérifiera si les abeilles qui entrent appartiennent à la colonie et alertera si un ennemi s’approche.

En cas d’attaque, les gardiennes appelleront des renforts et précipiteront l’ennemi pour le poignarder. Avant l’attaque, les gardiennes se tiendront sur la plate-forme devant l’entrée dans une posture caractéristique.

L’abeille gardienne devient la cueilleuse

Trois semaines après la naissance, l’ouvrière effectuera plusieurs vols de reconnaissance pour se familiariser avec les environs et localiser la ruche. Puis s’envolera à la recherche de nectar de fleur, de pollen ou de propolis.

Les vieilles abeilles transportent de l’eau. L’eau est en effet indispensable à la vie de la colonie. Les abeilles d’hiver, c’est-à-dire les abeilles qui naîtront à la fin de l’été, auront pour tâche de maintenir une température d’une vingtaine de degrés dans la touffe.

En hiver, les abeilles forment un groupe autour de la reine et du couvain. Elles se relayeront. Les abeilles extérieures à la grappe reviendront se réchauffer lorsqu’elles seront gelées et seront remplacées par d’autres. Et ainsi de suite jusqu’à ce que la température redevienne douce.

Vaches laitières : comment bien les soigner ?

Une vache bien nourrie et bien logée est une vache en pleine forme. Elle produit ainsi du lait de qualité et c’est aussi pourquoi l’éleveur doit surveiller la santé de ses vaches laitières, notamment lors de la traite. Découvrez dans cet article comment bien soigner vos vaches pour une production de qualité.

Suivre les conseils du vétérinaire

Pour que vos vaches vivent dans de bonnes conditions, il est conseillé de bien prendre soin de leur(s) étable(s), de leur(s) enclos et de tout ce qui s’y trouve, et bien sûr des vaches en question. Vous devez leur faire les vaccins requis pour leur bonne santé et recommandés par le vétérinaire. De plus, vous devez faire bien attention aux détails lorsque vous les nourrissez et lorsque vous les laissez brouter.

En effet, lorsqu’elles broutent, elles sont exposées à plusieurs types de maladies selon le type de fourrage que vous leur offrez. Ces maladies peuvent être aussi dues à la période de l’année pendant laquelle elles broutent et aussi à leur cycle reproductif. Seul un bon vétérinaire doit vous prescrire des médicaments appropriés ou vous assister lors de l’élevage de ces dernières. Les médicaments pour vaches laitières chez Zoosanté par exemple, sont de bonne qualité et appropriés pour maintenir vos vaches laitières en parfaite santé.

Parmi les facteurs à risques pouvant affecter la santé de vos vaches, notez que les herbes riches (en pleine pousse) mélangées avec du trèfle peuvent provoquer des ballonnements. Aussi, si le sol est pauvre en magnésium, elles pourraient souffrir de tétanie d’herbage. En outre, lorsqu’elles mangent du fourrage qui gèle ou meurt rapidement à cause du manque d’humidité, elles pourraient courir le risque d’un empoisonnement aux nitrates.

Ceci arrive souvent pendant les périodes de sécheresse ou lors de gelées soudaines. Il existe aussi d’autres maladies comme la fièvre de lait. C’est pourquoi vous devriez consulter votre vétérinaire afin de prévenir une fièvre de lait, mais aussi toutes les autres maladies indésirables.

Bien nourrir et abriter vos vaches

Comme tous les animaux, les vaches doivent bien se nourrir et boire assez d’eau afin d’être en bonne santé. Elles ont également besoin d’un abri et d’un espace convenables afin de se déplacer librement.

Vous devrez posséder une étable suffisamment grande pour permettre à vos vaches d’être à l’abri durant la périodes de l’année où les températures et les intempéries sont plus rudes. Prévoyez également des abreuvoirs à proximité pour qu’elles puissent y avoir accès en permanence. Il est aussi indispensable de mettre des blocs de minéraux à leur disposition. En effet, la plupart des aliments qu’elles mangent ne contiennent pas toujours les nutriments dont elles ont besoin pour être en bonne santé.

En somme, pour bien soigner vos vaches, il est recommandé de bien les nourrir et les abriter afin d’éviter certaines maladies, mais aussi de faire appel à un vétérinaire. Ce dernier est à même de prescrire les médicaments adéquats en cas de maladies. Vos vaches donneront par la suite du lait de qualité et riche en vitamines.

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