La ruche Warré : La ruche parfaite pour l’apiculteur débutant

La ruche Warré

Pour partir à la découverte de la merveilleuse aventure qu’est l’élevage des abeilles, la ruche warre est parfaite pour tout apiculteur débutant. Elle ne nécessite pas beaucoup d’investissement, que ce soit en termes de temps ou de matériel. Elle représente également un habitat idéal pour les colonies, car sa conception respecte au mieux le cycle de vie naturel des abeilles. Découvrez vite ce qu’il faut savoir sur cette ruche pour les débutants.

La conception de la ruche Warré

La ruche Warré a été inventée par l’abbé Emile Warré au XXè siècle. Passionné dès son jeune âge à l’élevage des abeilles, il prit soin de tester plus de 350 ruches avant de proposer finalement une ruche verticale, séparable à section carrée. Ce religieux amoureux des abeilles ne poursuivait pas comme objectif, d’abondantes récoltes de miel. Il voulait favoriser au maximum le cycle de vie de l’abeille en élevage, en lui offrant un habitat qui se rapproche le plus possible de son environnement naturel. Contrairement à la populaire ruche Dadant, la ruche Warré ne présente pas de distinction entre le corps et la hausse.

Une ruche écologique pour le bien être des colonies

La conception ainsi que la taille des corps de cette ruche écologique ont été spécifiquement conçues pour privilégier le bon développement des colonies d’abeilles. Ses dimensions sont également déterminées selon le volume occupé naturellement par une grappe d’abeilles en période d’hivernage. La ruche Warré mesure alors 30 x 30 x 21 cm et n’est pas composée de cadres, mais d’éléments amovibles. Chacun de ces éléments est constitué uniquement de 8 rayons de cire. Les interventions de l’apiculteur sont aussi limitées au maximum afin de ne pas déranger les abeilles même en hiver.

La ruche Warré pour apiculteur débutant

Pour un apiculteur débutant, pour un amateur qui ne souhaite conduire qu’un petit nombre de ruches, la ruche Warré est idéale pour faire ses premiers pas dans l’univers fascinant de l’apiculture. En effet, cette ruche écologique n’exige pas de faire un investissement conséquent. L’abbé Warré l’a conçue dans un tel état d’esprit d’économies de moyens, qu’il est même possible de construire soi-même sa propre ruche Warré.

Outre son côté peu onéreux, la conduite de cette ruche ne nécessite l’utilisation, ni de cire gaufrée, ni d’extracteur, ni d’autres matériels d’apiculture sophistiqués. Les manipulations sont également moindres, puisque les abeilles construisent elles-mêmes leurs rayons selon leurs propres besoins. Un autre avantage considérable proposé par ce modèle de ruche est que l’apiculture peut profiter d’abeilles les moins agressives, puisqu’elles peuvent vivre tranquillement sans trop d’intervention de la part de l’homme.

Enfin, comme la Warré est idéale pour débuter dans l’apiculture, un des moyens pour se former à l’apiculture est de faire son apprentissage au sein d’un rucher école.

Faux miel ou miel naturel : comment faire la différence ?

Faux miel ou miel naturel

Pour bien profiter d’un miel de qualité, il est nécessaire de le consommer brut ou naturel. Il existe des méthodes pour distinguer le vrai du faux miel. L’article suivant expliquera les différents critères qui détermineront un miel authentique 100 % naturel.   

Qu’est-ce qu’un vrai miel et faux miel ?

Il faut savoir qu’un miel cru finit par cristalliser après plusieurs mois. Pour faire la différence, il faut savoir ce qui différencie le vrai miel du faux. Un vrai miel ne provient pas d’une usine, mais de la ruche d’abeilles. Le miel pur est fabriqué par des abeilles mellifères. Le miel biologique est fabriqué par les abeilles qui se nourrissent des fleurs. Et les fleurs sont cultivées dans son environnement naturel. Un faux miel est un miel ajouté avec du glucose, du dextrose, de la mélasse, ou encore du sirop du sucre. On y ajoute aussi du sucre inverti, de la farine, du sirop de, mais, de l’amidon et tout produit semblable. Le faux miel se nomme aussi miel impur, artificiel ou falsifié.

Les astuces pour reconnaitre le vrai du faux miel

Il existe différentes méthodes pour faire la distinction du vrai au faux miel.

·         La cristallisation du miel cristallisé et miel cru

La cristallisation prend plus ou moins de temps en fonction des fleurs d’origine du miel. Un miel cru finit toujours par cristalliser au bout de 6 mois à 1an. Le faux miel ne cristallise pas du tout par endroits.

·         La densité du miel

Un miel qui vient d’être récolté est très liquide. Puis il s’alourdit rapidement, il devient difficile à transvaser d’un pot à un autre. Le faux miel reste liquide au bout de plusieurs mois.

·         La dissolution dans l’eau

Pour vérifier l’authenticité d’un miel pur, il faut verser une cuillérée dans un verre d’eau. Une fois le miel est tombé dans le fond du verre. Il ne doit pas se mélanger qu’après avoir mélangé. Cette expérience prouve l’authenticité d’un miel naturel.

·         La réaction au chauffage

Si on chauffe un miel, le naturel caramélise rapidement. Le faux miel se transforme en mousse puis en caramel. Il est bien possible qu’il ne se change plus.

·         L’odeur et le gout

L’odeur d’un miel naturel se rapproche à celle de sa fleur de provenance. Son gout se sent au bout de quelques minutes en bouche. Le faux miel n’a pas d’odeur délicate. Son gout dure longtemps en bouche à cause des sucres et d’aromes ajoutés.

·         Le test du feu

Il faut enduire la tête d’une allumette de miel et allumer avec une autre. Si cette allumette prend le feu rapidement, ça prouve que c’est du miel authentique. Mais dans le cas contraire, c’est un faux miel.

·         L’adhésivité

Le vrai miel n’est pas collant si on frotte entre les doigts. Le faux est collant à cause du pourcentage élevé d’additifs ajoutés.

·         L’épaisseur

Un vrai miel est très épais et difficile à transvaser dans un contenant tandis que le faux est léger et se transvase rapidement.

·         Le test du jaune d’œuf

On verse le vrai miel dans un récipient avec le jaune d’œuf. Quand le mélange est accompli, le jaune d’œuf paraît cuit. Le faux n’affecte rien sur le jaune d’œuf.

·         Le test du pain

Un pain tartiné de vrai miel se fige en quelques minutes. Le faux miel mouille et hydrate en raison des additifs.

·         L’impureté

Le vrai miel contient d’impuretés les particules d’aspect sale. Il contient de pollen et corps d’abeilles. Le faux n’a aucune impureté totale.

 

L’abeille ouvrière : une travailleuse multifonction dans la ruche

L'abeille ouvrière

Le rucher est un véritable petit monde avec ses habitants et sa propre organisation. La colonie est dirigée par une reine qui assurera la survie de la ruche en pondant des œufs pour les futures abeilles.

Il y a plusieurs centaines de mâles dans la ruche, mais les principaux habitants sont des abeilles ouvrières. Ces abeilles femelles représentent 90 % de la colonie et sont actives tout au long de leur vie pour assurer le bon fonctionnement de la ruche.

La naissance des abeilles ouvrières

Contrairement à la reine, il faut 21 jours à une ouvrière pour quitter sa cellule. Comme la reine, l’œuf éclora en trois jours et l’abeille ouvrière idéale apparaîtra 21 jours après la ponte.

L’ouvrière a des glandes qui seront plus ou moins développées selon son âge et lui permettront d’effectuer des tâches spécifiques :

  • la glande du bas de la gorge, grâce à laquelle les ouvrières sécrètent une substance destinée à nourrir les larves,
  • les glandes labiales et mandibulaires qui permettent l’émission de phéromones d’alarme,
  • la glande de Nasanov, une tache distincte que l’on voit au bout d’une abeille pour indiquer aux autres abeilles de la colonie que c’est là que se trouve la reine.

Relations entre les abeilles ouvrières

Il n’y a qu’une seule mère dans la ruche, la reine des abeilles. Cet insecte est facile à reconnaître par sa plus grande taille.

Pendant le vol nuptial, elles s’accoupleront pour la première fois de leur vie. Environ 25 mâles seront fécondés par une reine. Une fois l’accouplement terminé et fécondé, la reine retourne dans sa ruche et n’en sortira plus.

Par conséquent, elle stocke leur sperme dans sa spermathèque. Tout au long de sa vie, elle pondra des œufs de différents mâles. Les ouvrières peuvent donc être sœurs ou demi-sœurs.

La vie des abeilles ouvrières

Tout comme les fourmis ou les termites, les abeilles sont connus pour être des travailleuse infatigables. La vie des ouvrières est une vie de dur labeur. Une jeune abeille effectue ses tâches dans la ruche. Elle ne sortira pas avant vingt jours. La tâche de la jeune abeille sera de nettoyer les alvéoles pour faire place à la deuxième génération, la reine ne pond que dans des alvéoles propres.

Vers l’âge de six jours, l’ouvrière deviendra nourrice. Elle sera chargé de nourrir les larves. Certains vont sceller, c’est-à-dire obstruer les cellules contenant des larves de neuf jours. Puis, entre le 5e et le 20e jour, l’abeille ouvrière commencera à construire les rayons et à les réparer.

A 15 jours en moyenne, l’abeille sera chargée : 

  • de récolter la manne apportée par les cueilleurs,
  • de stocker le nectar et de le transformer en miel,
  • et de stocker le pollen dans les alvéoles.

Puis lentement l’abeille sortira de la ruche. Environ 18 jours, elle sera chargé de réguler la température de la ruche en créant un courant d’air grâce aux battements rapides des ailes.

L’abeille ouvrière devient une abeille gardienne

Dans la période de 12 à 25 jours, l’ouvrière deviendra une gardienne. Placée devant la porte d’entrée, elle vérifiera si les abeilles qui entrent appartiennent à la colonie et alertera si un ennemi s’approche.

En cas d’attaque, les gardiennes appelleront des renforts et précipiteront l’ennemi pour le poignarder. Avant l’attaque, les gardiennes se tiendront sur la plate-forme devant l’entrée dans une posture caractéristique.

L’abeille gardienne devient la cueilleuse

Trois semaines après la naissance, l’ouvrière effectuera plusieurs vols de reconnaissance pour se familiariser avec les environs et localiser la ruche. Puis s’envolera à la recherche de nectar de fleur, de pollen ou de propolis.

Les vieilles abeilles transportent de l’eau. L’eau est en effet indispensable à la vie de la colonie. Les abeilles d’hiver, c’est-à-dire les abeilles qui naîtront à la fin de l’été, auront pour tâche de maintenir une température d’une vingtaine de degrés dans la touffe.

En hiver, les abeilles forment un groupe autour de la reine et du couvain. Elles se relayeront. Les abeilles extérieures à la grappe reviendront se réchauffer lorsqu’elles seront gelées et seront remplacées par d’autres. Et ainsi de suite jusqu’à ce que la température redevienne douce.

Vaches laitières : comment bien les soigner ?

Une vache bien nourrie et bien logée est une vache en pleine forme. Elle produit ainsi du lait de qualité et c’est aussi pourquoi l’éleveur doit surveiller la santé de ses vaches laitières, notamment lors de la traite. Découvrez dans cet article comment bien soigner vos vaches pour une production de qualité.

Suivre les conseils du vétérinaire

Pour que vos vaches vivent dans de bonnes conditions, il est conseillé de bien prendre soin de leur(s) étable(s), de leur(s) enclos et de tout ce qui s’y trouve, et bien sûr des vaches en question. Vous devez leur faire les vaccins requis pour leur bonne santé et recommandés par le vétérinaire. De plus, vous devez faire bien attention aux détails lorsque vous les nourrissez et lorsque vous les laissez brouter.

En effet, lorsqu’elles broutent, elles sont exposées à plusieurs types de maladies selon le type de fourrage que vous leur offrez. Ces maladies peuvent être aussi dues à la période de l’année pendant laquelle elles broutent et aussi à leur cycle reproductif. Seul un bon vétérinaire doit vous prescrire des médicaments appropriés ou vous assister lors de l’élevage de ces dernières. Les médicaments pour vaches laitières chez Zoosanté par exemple, sont de bonne qualité et appropriés pour maintenir vos vaches laitières en parfaite santé.

Parmi les facteurs à risques pouvant affecter la santé de vos vaches, notez que les herbes riches (en pleine pousse) mélangées avec du trèfle peuvent provoquer des ballonnements. Aussi, si le sol est pauvre en magnésium, elles pourraient souffrir de tétanie d’herbage. En outre, lorsqu’elles mangent du fourrage qui gèle ou meurt rapidement à cause du manque d’humidité, elles pourraient courir le risque d’un empoisonnement aux nitrates.

Ceci arrive souvent pendant les périodes de sécheresse ou lors de gelées soudaines. Il existe aussi d’autres maladies comme la fièvre de lait. C’est pourquoi vous devriez consulter votre vétérinaire afin de prévenir une fièvre de lait, mais aussi toutes les autres maladies indésirables.

Bien nourrir et abriter vos vaches

Comme tous les animaux, les vaches doivent bien se nourrir et boire assez d’eau afin d’être en bonne santé. Elles ont également besoin d’un abri et d’un espace convenables afin de se déplacer librement.

Vous devrez posséder une étable suffisamment grande pour permettre à vos vaches d’être à l’abri durant la périodes de l’année où les températures et les intempéries sont plus rudes. Prévoyez également des abreuvoirs à proximité pour qu’elles puissent y avoir accès en permanence. Il est aussi indispensable de mettre des blocs de minéraux à leur disposition. En effet, la plupart des aliments qu’elles mangent ne contiennent pas toujours les nutriments dont elles ont besoin pour être en bonne santé.

En somme, pour bien soigner vos vaches, il est recommandé de bien les nourrir et les abriter afin d’éviter certaines maladies, mais aussi de faire appel à un vétérinaire. Ce dernier est à même de prescrire les médicaments adéquats en cas de maladies. Vos vaches donneront par la suite du lait de qualité et riche en vitamines.

Les poissons rouges sont-ils intelligents ?

Les poissons rouges sont-ils intelligents ?

La mémoire ou le cerveau est un trésor inestimable pour les êtres vivants. Ceci permet de retenir ou de conserver certaines informations. On a déjà entendu parler de l’intelligence d’une souris ou bien la mémoire d’éléphant. Mais cette fois-ci, la question concerne l’intelligence des poissons rouges : un mythe ou une réalité ? Pour mieux répondre à cette question, on va considérer le mythe sur l’intelligence des poissons rouges, d’après les historiens, et la réalité sur l’intelligence des poissons rouges selon les chercheurs.

Le mythe sur l’intelligence des poissons rouges, d’après les historiens

L’histoire raconte des choses mystérieuses sur les poissons rouges tels que le poisson possède une mémoire courte de trois secondes. On ne sait pas pourquoi, comment, qui est à l’origine de ce dicton. Ce mythe n’est pas vraiment fondé, mais annonce que le poisson est doté d’une mémoire ridicule et temporaire. D’ailleurs, c’est une légende urbaine très populaire à laquelle s’ajoute l’expression « Avoir une mémoire de poisson rouge ». Cette dernière est utilisée pour désigner une personne qui a une mémoire courte et limitée.

La réalité sur l’intelligence des poissons rouges, selon les chercheurs

La découverte d’une expérience sur le poisson rouge est une meilleure chose pour les scientifiques. Selon le psychologue anglais Phil Gee, « les scientifiques savent depuis longtemps que les poissons bénéficient d’une mémoire, notamment le poisson rouge ». Après une expérience d’une semaine, cette thèse fut confirmée. On a utilisé le principe du son pour annoncer chaque repas du poisson rouge. Une semaine après, le poisson fut capable de retenir l’heure du repas au même moment dans son aquarium.

Le poisson rouge peut donc retenir un certain nombre d’éléments en faisant usage de sa mémoire sensorielle, tout comme les animaux de sa taille. Contrairement à ce qu’affirme le mythe, cet animal peut donc mémoriser à long terme. Les chercheurs ont même montré qu’un poisson rouge a une capacité de mémoire d’une portée d’au moins trois mois.

Quelles sont les mémoires d’un poisson rouge

En effet, le poisson rouge est doté d’une mémoire comme chaque être vivant. Cependant, il est à noter que ces poissons ne mettent en fonction que trois types de mémoire :

La mémoire à long terme

Comme mentionnée au-dessus, l’expérience sur les poissons rouges lors de ses repas a pu affirmer que ces petits poiscailles disposent une mémoire à long terme.

La mémoire spatiale

En effet, les poissons rouges sont capables de mémoriser l’espace où ils se trouvent. Cela implique la topographie, le repérage des zones basses et hautes afin de déterminer le niveau de la marée. Cette mémoire est particulièrement en action lorsque le poisson rouge se sent en danger.

La mémoire des évènements

Mis à part l’heure des repas, les poissons rouges savent aussi utiliser leur mémoire pour déterminer à quel moment de la journée leur prédateur, leur ennemi, ainsi que les dangers peuvent faire surface.

Les poissons rouges, en cas de danger, font appel à ces trois mémoires afin d’échapper et survivre face aux dangers.

3 conseils pro pour nourrir correctement votre cheval

Un cheval a besoin d’une bonne alimentation pour préserver sa santé et ainsi prolonger sa longévité. Pour cela, il est important de bien connaître son comportement alimentaire. Dans cet article, nous vous donnons différents conseils pro sur la façon de nourrir correctement votre équidé afin de lui offrir une belle vie.

Privilégiez une alimentation équilibrée pour votre cheval

Un cheval à des besoins en vitamines, en acides aminés et oligo-éléments. C’est pour cette raison qu’une alimentation équilibrée doit lui être accordée. Sachant que les vitamines agissent de façon très complexe, lui donner un foin de mauvaise qualité sera contre-productif et peut provoquer un embonpoint chez votre cheval. Les acides aminés tels que la lysine sont également indispensables dans son alimentation. Alors, n’hésitez plus, offrez-lui une nutrition équine de qualité afin de préserver sa santé.

Ayez une distribution alimentaire bien gérée

Sachant que l’estomac d’un cheval est d’un volume relativement petit, il est important de fractionner ses rations journalières au minimum en 3 repas. En espace naturel, un cheval peut brouter en continu, et ce, jusqu’à 12 heures par jour. Le repas du matin doit donc être peu volumineux tout en privilégiant un apport de fibres. Le repas du midi, quant à lui, doit être sans excès. Par contre, le soir, donnez-lui suffisamment de foin de façon à ce qu’il puisse s’alimenter tout au long de la nuit. Vérifiez également qu’il est un abreuvement suffisant. En suivant à la lettre cette distribution alimentaire, chaque jour passé avec votre cheval ne sera que joie et plaisir.

Offrez à votre cheval un bon apport phospho-calcique

Le calcium et le phosphore sont des apports quotidiens essentiels pour l’organisme de votre cheval. Ces 2 éléments, qui se retrouvent dans la plupart des aliments, doivent tout de même être contenus dans une certaine proportion. L’apport en calcium doit par principe être supérieur à l’apport en phosphore. On appelle cela un rapport phospho-calcique, qui doit être situé entre 1 et 3. L’avoine est un des aliments où cet équilibre n’existe pas, il est donc nécessaire de compléter avec d’autres aliments, par exemple avec du foin de luzerne. 

To-do avant de laisser son chien seul à la maison

Laisser son animal de compagnie seul dans le logement ou dans la maison lorsqu’on sort est souvent une situation que beaucoup de personnes préfèrent éviter. Si elle est difficile pour le maître, cela peut l’être également pour le chien sur le plan psychologique et émotionnel. Cependant, il est impossible d’amener votre chien partout où vous allez. Il existe pourtant quelques solutions pour préparer idéalement votre animal à ces moments de solitude. Voici quelques astuces simples et efficaces que vous pouvez mettre en place avant de laisser votre chien seul à la maison.

Habituez votre chien à la solitude

Pour gérer au mieux la solitude de votre chien pendant votre absence, un bon prérequis serait de commencer par l’habituer progressivement à la solitude. Beaucoup de propriétaires utilisent pour cela des astuces comme les jouets, la télévision ou encore un plat de croquette chien. Cela permet de le rendre plus autonome, de lui apprendre à s’habituer à votre absence et de gérer efficacement les crises de stress lorsque vous sortez de la maison.

En réalité, lorsque vous commencez par laisser votre chien seul à la maison du jour au lendemain sans l’avoir habitué, ce changement de situation peut entraîner une dépression chez votre animal. Pour éviter cela, commencez donc par le laisser seul progressivement, ne serait-ce que pendant un quart d’heure afin qu’il puisse s’habituer à attendre votre retour. Vous pouvez par exemple lorsque vous êtes à la maison, le laisser seul dans une pièce pendant quelques minutes, voire quelques heures. L’objectif consiste à supprimer ce contact physique malgré votre présence et lui faire croire qu’il est seul dans la maison.

Il faudra pour cela lui trouver une activité alternative et ne pas chercher à le consoler immédiatement lorsqu’il manifeste des signes de solitude (grognement, aboiement, pleurs, etc.). Veillez également à ne pas lui donner trop d’attention lorsque l’heure du départ de la maison s’approche pour vous. Pour cet exercice, il est préférable d’attendre les périodes où votre animal est plus calme. En répétant cette expérience plusieurs fois au quotidien, votre chien s’habituera plus facilement à vous voir hors du domicile sans lui. Vous pourrez ainsi le laisser seul sans vous soucier de ses réactions. N’oubliez pas de lui mettre à disposition de la croquette chien dans un distributeur adapté.

Organisez une balade avec votre chien

Même si vous avez entraîné votre animal à gérer efficacement votre absence, il est important de suivre quelques règles de base avant de le laisser seul à la maison. L’une d’entre elles est de prévoir une balade avec votre animal au moins une demi-heure avant votre départ de la maison. Cette promenade est une parfaite occasion pour votre animal de compagnie de se dépenser, mais de faire également ses besoins dehors.

D’autre part, il est également important d’inclure à cette routine d’autres activités tout aussi importantes. En effet, en plus des promenades, vous devez également nourrir votre chien avant de sortir de la maison. Raison pour laquelle il est primordial de toujours préparer une gamelle de croquette chien avant de sortir de chez vous. Par ailleurs, pour aider votre animal à mieux tolérer les périodes où il devra rester seul dans la maison, pensez aussi à faire sa toilette avant de sortir. Certains dispositifs de couchage peuvent être complétés pour le confort de votre animal de compagnie.

Ne ritualisez pas votre départ

Qui dit habitude, ne veut pas forcément dire rituel. En effet, avant de quitter votre maison, il est important de ne pas ritualiser votre départ, surtout lorsqu’il s’agit de vos premières séparations. Ceci permet de ne pas stresser votre canidé au moment de votre départ.

Une bonne idée consiste par exemple à préparer vos clés ainsi que votre manteau en avance et à des intervalles décalés. L’autre méthode qui permet de quitter votre animal sans éveiller des soupçons est d’adopter une attitude neutre. Quelques minutes avant de sortir, vous pouvez occuper votre animal en lui servant des friandises. Le temps de déjeuner tranquillement, vous pouvez en profiter pour quitter furtivement votre maison.

Une autre astuce consiste également à le mettre dans un cadre idéal afin de focaliser son attention sur autre chose. Ce qui vous permettra de quitter votre logement en toute tranquillité. Le temps qu’il constate votre absence, vous êtes déjà bien loin.

Mettez votre chien dans un endroit sûr

La dernière étape avant de quitter votre maison est de placer votre chien dans un endroit sûr. Il s’agit ici de choisir un coin où votre animal domestique pourra se sentir en sécurité. En général, dès que vous adoptez un chien, il est primordial de l’habituer à une place qui représente pour lui un lieu de sérénité (niche, oreiller, couverture).

En réalité, choisissez pour votre chien un endroit qui sera synonyme de récompense, de câlin où il pourra également trouver ses jouets et des os à mordiller. Il peut aussi s’agir d’une place où il a l’habitude de prendre ses repas ou se reposer. En revanche, veillez à ce que cette place ne soit pas pour lui un lieu de rappels ou de punitions. Si vous avez un chiot, veillez à ce que cet endroit soit limité par une barrière et situé dans une partie fréquentée de la maison.

Cela permet à votre animal de ne pas associer cette place à la solitude. Avant de quitter votre maison, veillez à ce que votre chien soit placé dans cet espace qui lui rappelle de meilleurs souvenirs. Par ailleurs, si votre chien doit rester dans une pièce de logement pendant votre absence, veillez à ce que les règles de sécurité soient respectées. Laissez toujours la lumière allumée et mettez les objets dangereux hors de sa portée.

Soigner la dépression chez le chien

Malheureusement, la dépression est tout aussi présente chez les chiens que chez l’homme. Et les symptômes en sont également les mêmes. Incapacité à se nourrir, solitude, tristesse, pleurs, eczéma, etc. Tout comme chez l’homme, la dépression peut avoir des effets graves sur l’animal. Auparavant, les propriétaires de chiens n’accordaient pas réellement d’importance à la dépression canine. Mais actuellement, de nombreuses consultations vétérinaires ont pour objet de soigner ce type de mal. À ce sujet, voici nos conseils pour soigner la dépression chez le chien !

Surveillez l’alimentation de votre animal

La dépression peut être causée par des dérèglements au niveau du métabolisme de l’animal. Là-dessus, il faut que vous donniez à votre animal de la nourriture saine et équilibrée. Préférez une croquette chien de qualité aux pâtés industriels. Plus l’alimentation de votre animal est adaptée à son état de santé et sa condition, plus les risques de dépression sont moindres.

Il lui faut un compagnon

Certaines races de chien vivent très mal la solitude. Si vous adoptez une race qui supporte mal le fait d’être seul, votre animal se sentira rapidement mal s’il n’a pas de compagnon. Là-dessus, lorsque vous souhaitez procéder à une adoption, prenez deux chiots. C’est l’assurance que vos animaux ne ressentent ni la dépression ni l’anxiété de la séparation.

Soyez présent pour lui

La présence de son maître contribue également à soigner les crises d’anxiété et de dépression de l’animal. Alors, prenez le temps de vous balader et de vous promener avec votre animal. Il ne s’agit pas de le faire occasionnellement, vous devez le faire de façon systématique. Tous les deux ou trois jours, c’est l’idéal. S’il sent qu’il est bien entouré et aimé, il ne sera jamais dépressif.

Achetez-lui des jouets

Vous pouvez également acheter des jouets ou des jeux à votre animal. L’objectif est qu’il puisse se divertir et s’amuser. Et ce, même durant votre absence. Ou lorsqu’il est seul. Observez-le qu’est ce qui l’attire ? Est-ce qu’il aime jouer à la balle ? Est-ce ce qu’il aime déchiqueter des os ? Dans les animaleries, vous pouvez facilement trouver des jouets ou des jeux adaptés aux besoins de votre animal.

Consultez un vétérinaire

Si les effets de la dépression ne disparaissent pas malgré vos efforts pour entourer et réconforter votre animal, vous devez consulter un vétérinaire. Les symptômes graves sont : le refus de se nourrir ou de boire, le fait de rester seul dans son coin, l’agressivité, etc. Si ces symptômes perdurent, il est préférable d’aller voir le vétérinaire. Il pourra être amené à prescrire des anxiolytiques ou des antidépresseurs à l’animal.

Consultez un nutritionniste animalier

Consulter un nutritionniste animalier peut également être nécessaire. Pourquoi ? Parce que comme cité plus haut, il se peut que les crises d’angoisse et de dépression soient liées à une mauvaise alimentation. Le nutritionniste animalier pourra vous prescrire un régime adapté, pour qu’il retrouve du tonus et de l’énergie. Il vous prescrira la croquette chien adaptée à votre animal. Il vous dira également si votre animal a besoin de vitamines, de zinc ou de compléments alimentaires.

Enfin bref, la dépression chez l’animal est causée par la solitude, l’angoisse de la séparation, le déséquilibre du métabolisme dû à une mauvaise alimentation, etc. Ces quelques conseils peuvent vous aider à soigner la dépression de votre animal. Mais en cas de persistance des symptômes, il est recommandé de se rapprocher d’un vétérinaire. N’oubliez pas, un chien heureux ne peut pas devenir un chien dépressif. Alors, faites en sorte qu’il soit heureux, c’est la meilleure méthode pour éloigner la dépression et l’angoisse. Pour le rendre joyeux, c’est simple : soyez présent pour lui, promenez-le régulièrement et donnez-lui une alimentation équilibrée.

Quelles sont les races de chien qu’utilisent les policiers ?

Quelles sont les races de chien qu’utilisent les policiers

Les policiers utilisent des chiens dans leur brigade pour complémenter leurs recherches. Plusieurs races de chiens sont mises en vigueur, étant donné que les animaux agissent selon leurs compétences. Les chiens policiers ou chiens d’intervention jouent plusieurs rôles. Ils servent leurs maîtres pour une détection, une recherche, une défense ou un sauvetage. Ils suivent un dressage spécifique approfondi avant de prendre part aux diverses enquêtes et services.

Le Berger Allemand

Il fait partie des races de chiens utilisés par les policiers. Il possède un aspect physique développé, puissant et imposant malgré sa taille moyenne. Il fait partie des choix des policiers, car il est spécialisé dans les sauts et les courses. Il est doté d’une intelligence exceptionnelle pour effectuer des recherches lors des enquêtes policières. Excellent animal de compagnie, il ne sera pas en mesure d’agir contre son maître policier. Animal fidèle, le Berger Allemand reste sur la défensive pour protéger son maître et se met à l’offensif uniquement lorsque la situation l’exige.

Le Doberman

Le Doberman est un chien de race considéré comme un animal de garde et de défense. Son incroyable perception lui confère le titre de chien d’intervention au service de la police. Sa rapidité et sa robustesse caractérisent sa carrure physique. Il n’est pas conseillé d’éveiller son agressivité traduite par ses aboiements répétés. D’ailleurs, il flaire le danger à tout moment. Un bon dressage suffit pour qu’il respecte le désir de son maître.

Le Chien de Saint-Hubert

Ce chien possède une forte et massive carrure qui fait de lui un chien physiquement puissant. Ses capacités de chien de chasse cachent pourtant la qualité d’un animal de race docile et fidèle à son maître. Les policiers l’adoptent pour leur grande aptitude à renifler. Le Chien de Saint-Hubert est en effet un chien calme, mais avantage les policiers lors des recherches, car il démontre une compétence satisfaisante à ce niveau.

Le berger belge malinois

Une des races canines les plus possédées par les policiers est le berger belge malinois. Il représente la qualité d’un chien de race très actif. Il se plie aux volontés du policier, quelles qu’elles soient. Il est doté d’un caractère agressif qui le pousse à agir directement lorsque le policier le lui demande. Il reste donc toujours sur ses gardes, prêt à affronter toutes les situations. Son courage et son intelligence déterminent une des natures animales attendues par les policiers.

Les chiens de sauvetage

Les chiens de sauvetage sont représentés par des races canines variées, dont le rôle commun est de sauver des vies humaines ou animales. Ils sont capables de s’introduire en mer, en avalanche, dans les mines, ou encore dans les flammes. Voici une liste déterminante des chiens de sauvetage :

  • Le border collie
  • Le léonberg
  • Le labrador retriever
  • Le berger blanc suisse
  • Le hovawart
  • Le landseer
  • Le golden retriever
  • Le terre neuve
  • Le berger belge malinois
  • Le berger allemand

Les policiers utilisent les chiens de sauvetage, car ces animaux sont dotés d’un courage débordant et agissent à leurs risques et périls. Les policiers et les chiens travaillent ensemble pour un résultat plus efficace.

La poule un animal de compagnie intéressant

Le chat, le chien, le perroquet et bien d’autres animaux sont ceux auxquels l’on pense presque immédiatement quand on parle d’animaux de compagnie. Et pourtant, la poule est un excellent animal de compagnie. Voyons ensemble ce qui fait de la poule une alliée irrésistible. 

Un animal profondément sociable

Une poule aura du mal à vivre seule. Pourquoi ? Parce qu’elle est profondément sociable. Tôt le matin, depuis sa fenêtre, on peut la voir en compagnie de ses congénères, faire le tour du jardin en caquetant. Suivie de ses poussins, elle fait une excellente mère. Voir une poule aller à la rescousse d’un de ces poussins pour le décoincer d’un branchage embarrassant, est un spectacle émouvant qui nous signale combien la poule peut être d’une belle intelligence et d’une forte compassion. Adopter par exemple une poule marans comme animal de compagnie, est très en vogue. Au-delà de leur compagnie agréable, les poules savent se montrer utiles à plusieurs égards. Généreuses, elles offriront de quoi faire des omelettes tous les matins. 

Des œufs frais toute l’année

Une poule peut vivre jusqu’à 5 bonnes années pendant lesquelles elle offrira généreusement tous les matins, des œufs frais et bios. Avec les produits du poulailler, on renoue carrément avec la saveur exquise des œufs aux jaunes purs et très nourrissants. 

Offrir plus de 250 œufs en moyenne par an, la poule fait plus qu’être un animal de compagnie intéressant, c’est une nutritionniste précieuse pour la famille. Plus question de s’inquiéter à contrôler la traçabilité d’un œuf pour se rassurer de sa provenance. La meilleure source, c’est le poulailler de chez soi.

La poule aide à la gestion de poubelle

Encore un service d’une valeur inestimable. Une poule est capable d’alléger la poubelle de la maison de 150 kg de déchets tous les ans. Oui, elle en est capable. En effet, la poule étant omnivore, elle mange de tout : 

  • épluchures ;
  • restes de repas ;
  • restes de fruits, de viandes, etc.

150 kg de déchets en moins par an, c’est très avantageux dans la gestion de la poubelle : on nourrit sa poule tout en allégeant la facture. C’est dire que madame poule est très écologiste.

Des compétences de jardinière

Pour plusieurs raisons, la poule, est un animal de compagnie intéressant encore plus utile quand on a un jardin. Une poule produit l’un des meilleurs engrais qui puissent exister. Les fientes de poules sont un engrais très apprécié des jardiniers. 

Riches en azote, en ammoniaque, en phosphate et en bien d’autres éléments indispensables pour les plantes, les fientes de poule assurent une bonne croissance aux végétaux et permettent une bonne productivité. Cependant, il est préférable de sécher les fientes de poule avant usage, pour diminuer le fort taux d’ammoniaque pouvant nuire aux plantes. Par ailleurs, la trop grande richesse des fientes impose que l’on l’utilise parcimonieusement, pour éviter des brûlures aux racines des plantes. Il est pour ce faire, recommandé de le mélanger au compost. 

En définitive, la poule est un animal de compagnie intéressant. En plus de tout ce qu’elle peut déjà apporter, elle nous évite souvent l’utilisation de pesticide en débarrassant le potager de tout ce qui peut nuire aux laitues à savoir : insectes, limaces, fourmis, vers, escargot, tout en se régalant.

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